Pictures provided by: DidierF
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Author | Message |
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◊ 2015-02-03 19:51 |
Dider you uploded 6 times the same Caterpillar D8 dozer.... |
◊ 2015-02-03 20:01 |
Un film de Jacques de Baroncelli. Mélodrame pas très malin sur fond de geste coloniale … au Soudan français… … et quand je dis "pas très malin", je suis gentil : en fait, c'est complètement tarte. Le commandant Bréval (Victor Francen) se sent une vocation de bâtisseur à la Lyautey, aux côtés du major Bourdet (Harry Baur) qui soigne les populations locales, spécialement de la lèpre. Séduite par la flamme civilisatrice de Bréval, la jeune Danièle convainc son papa, un ministre, de l'appuyer. Ils vont même se marier. Las ! Bréval apprend qu'il a la lèpre et fuit sa promise. (Pourquoi ? Voulait-il se présenter absolument pur de tout germe devant une jeune femme dont en retour il pouvait espérer la virginité ? Cette partie de l'histoire est d'autant plus obscure que le docteur Bourdet avait annoncé à Bréval qu'il espérait bien le guérir.) Quelques années passent. Danièle (Annie Ducaux) s'est mariée avec le lieutenant Parent (Jacques Dumesnil) … un ancien subordonné et admirateur de Bréval. Le jeune couple s'ennuie dans sa ville de garnison, repart au Niger, où il retrouve Bourdet, les travaux sur le fleuve —inspirés par Bréval— très avancés, et Bréval lui-même, déguisé en touareg, qui dirige discrètement le chantier. Joie ! Bourdet apprend à Bréval qu'il est guéri ! Bréval l'apprend à Danièle, qui va bien se charger de l'apprendre à Parent son mari pour, euh, régulariser la nouvelle situation. Hélas, c'est le moment où une partie des populations locales, entraînées par un gars rétif au progrès, essaie d'en finir avec le chantier et la présence de l'homme blanc. Mais Bréval, plus homme de fer que jamais, retourne la situation et renvoie, sans effusion de sang, les rebelles chez eux… Fatalitas, le destin veillait : Bréval en meurt, oui, et il reçoit des funérailles solennelles. Mais l’œuvre de civilisation se poursuit. Alors, Francen, Baur, Dumesnil, Ducaux ne sont pas nuls, bien entendu, ce sont des acteurs professionnels de haute valeur, mais les rôles sont vraiment trop manichéens, de même que la description en toile de fond de la colonisation qui est pratiquement univoque. Il reste malgré tout les extérieurs tournés in situ, minutes fort bien filmées d'ailleurs, qui conservent au film une petite valeur ethnographique et historique. Ah, mike962, une excavatrice … but I suspect it to be on track (rails) and not automobile. This colonial melodrama finds its worth much more in the pictures made in French Soudan (Niger/Mali), very good and well set, than in its script, a completely and poorly clichéed story. |
◊ 2015-02-03 20:13 |
Did I, really? Are you sure? |
◊ 2015-02-03 21:01 |
yes , check reference, they are all pre ww2 Caterpillar D8.. |