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◊ 2015-06-22 17:03 |
d'André Berthomieu. Avec Giselle Pascal, extraordinairement convaincante en fantastique tête à claque. Claude Dauphin est son amour à conquérir, le populaire coupe Henri Genès et Jeannette Batti est là pour la chansonnette et la fantaisie (pas mal, d'ailleurs), … et on a encore Georges Lannes, La Jarrige, Henri Crémieux et Paulette Dubost qui a l'avantage de nous servir une excellente scène au premier tiers du film. Dommage qu'on ne la voie pas plus. Bon, le résultat est couci-couça, le scénario est plein d'étranges ellipses (appelons-les comme ça), mais il y a tout de même quelques scènes drôles, celle de Dubost, donc, et une scène du duo Giselle Pascal-Claude Dauphin à la fin, et la musique de Paul Misraki, multipliant les pastiches, est plutôt excellente. Une motocyclette qui passe, qui m'avait un air de flat-twin en voyant le film 01:04:47 … mais devant la photo extraite, je me contente de la glisser en commentaire. Too bad the copy was so poor… The main assets of the movie are certainly the Lincoln and above all the two post-war Delahayes, fantastic cars. The rest is a partly singing fantasy, not terrible, and at times even funny. Oh, the other asset is… France. Post-war France and its country side. The beginning of the movie is a long and arch-pleasant journey through France, from Provence to Bourgogne, and the civilised landscapes are stunning, so far, so far from the general suburbisation now reigning supreme. |